Origine du nom : de la présence de cormiers (sorbier domestique dont le fruit est une petite pomme de la grosseur d’une noix, et dont le bois rosâtre, très dur et élégamment veiné, est recherché en ébénisterie et pour la fabrication de certaines parties d’outils) sur le site, associée à celle du prieuré dépendant de l’abbaye royale de Saintes.
Le territoire situé autour du bourg actuel est un don du Duc d’Aquitaine et de sa femme Agnès de Bourgogne.
Les violences et les incendies ont détruit un patrimoine qui ne fut jamais reconstruit. La période révolutionnaire y fut également très agitée, mettant aux prises les religieuses du Couvent, les familles nobles et les partisans du Nouveau Régime…
Il n’y a plus trace des murailles qui entouraient la ville au Moyen-Age ; il en est de même pour l’ancienne église “Saint-Nazaire-de-Corme-Royal” qui a été détruite… et à l’emplacement de laquelle se trouve l’actuelle place des Acacias.